Betty Hovette Piano et /ou Clavier
Emilie Mousset Électroacoustique
Karine Sancerry Peinture
Soutenu par le LABEL Freddy Morezon
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2022
[EAU]SMOSE
À la Maison des Associations de Toulouse

Résidence > Soutenu par le STUDIO ÉOLE et le LABEL Freddy Morezon
Une réflexion autant qu’un regard portés sur notre rapport à l’environnement, sonore et visuel de l’élément Eau. Ce projet prolonge des recherches entreprises par Karine Sancerry tout au long d’une année dans la forêt domaniale de la Montagne Noire (Arfons), et accompagne son exposition.
Cliquez sur la vidéo ci-dessous

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2021
À L’USINE Mazères-sur-Salat
Intitulé de la création : “No Man’s land : Sons et visions du confinement.”
Présentation synthétique du projet et thèmes abordés :
“Nous avons tous été frappés par les mutations environnementales qui ont eu lieu pendant le premier confinement, que l’on soit citadin ou rural. Notre espace sonore et visuel a été modifié, notre rapport au temps ébranlé et questionné, avec une prise de conscience et/ou de redécouverte des sons environnants, la vision d’un ciel ôtée de toute pollution. Un silence habité, plus serein que pesant a inondé notre quotidien : plus de couloir aérien, plus de moteur à explosion, quasi disparition du trafic.
L’infini de la nature a repris ses droits générant des ressentis et des sentiments si ce n’est nouveaux du moins parfois oubliés.
Sens de cette création :
Une réflexion autant qu’un regard portés sur notre rapport à l’environnement, sonore et visuel, au XXIe siècle ; les enjeux révélés par le confinement et sa sortie.
Ce projet prolonge des recherches entreprises dans la mise en relation entre le plastique et le sonore commencée en novembre 2019, lors d’une résidence au Lieu Multiple à Poitiers.”
2019
Résidence > Lieu Multiple Poitiers
Évolution du travail, changement de scénographie

Extrait > Emission Anne Montaron
[A l’Improviste au Festival Jazz à Luzz ] 28ème édition
2019
En Dérive …
Dérive sonore et plastique improvisée.
Une quête
Créer dans l’instant un échange évolutif-interactif entre trois entités vibrantes,
l’acoustique du piano (ou clavier), le corps du peintre et la diffusion acousmatique
de la captation sonore mixée.
Cette dérive repose sur un vocabulaire commun développé en « laboratoire » pour
le remettre en jeu lors des performances, le lâcher-prise ayant alors ses droits,
les matières et les énergies se confondant, se superposant, des cohérences de natures
différentes se faisant jour : exploration de la matière, glissements successifs,
ondoiements, sons attrapés, détournés, remis dans un flux toujours en perpétuel mouvement…
L’imprévisible a donc ses droits dans la mesure où les formes plastiques peuvent se laisser
porter par le sonore, tout comme le visuel pourra engendrer la matière musicale.
De la sorte, chaque performance possède sa propre dérive, ses pôles d’attraction
et sa propre formation (i.e. qui se forme dans et par la progression temporelle) à l’oeuvre.
Se posent ainsi les questions de l’autre, de la latence, du presque rien,
d’archipels mondes comme l’aurait exprimait Edouard Glissant.
Et aussi : être détourné de sa route par les vents et les courants, être attentif aux chemins
de traverse et les lignes serpentines, attraper les propositions qui autorisent les changements de cap.`
Ceci offre la possibilité au public de prendre ses propres chemins visuels/auditifs, de produire
sa propre histoire selon les courants proposés.
Quelques partis pris :
Dominante du noir et blanc – diffusion électroacoustique à six hauts parleurs –
– piano parfois solitaire dans son jeu, parfois repris et traité par l’électroacoustique.
EXTRAIT 1 – VIDEO – EXTRAIT 2 – VIDEO






